La situation complexe que nous connaissons en ce début d’année montre une fois de plus à quel point le message « PACE E SALUTE » que nous échangeons répond à nos préoccupations et nos espoirs.

Face à un gouvernement qui ne cesse de montrer son mépris, tant à l’égard de la population dans son ensemble, qui devient « non-citoyenne » lorsqu’elle pense différemment, qu’à l’égard de ceux qui, comme les soignants, assument pleinement la crise sanitaire dans ses effets les plus terribles, ECOLOGIA SULIDARIA tient à réaffirmer quelques points fondamentaux.

La crise sanitaire risque de faire exploser le système de santé publique, dont le remplacement progressif au profit des systèmes privés est programmé depuis longtemps par des gouvernements successifs, et plus encore par les dirigeants actuels : au-delà de la fermeture des lits d’hôpitaux, ils traitent les soignants avec un mépris récurrent, traduit par des rémunérations et des conditions de travail indignes  : infirmières, sages-femmes, aides-soignants, internes, loin des salaires moyens européens, avec des tentatives de rattrapage en urgence en décalage avec la réalité. Nous affirmons notre solidarité et notre soutien à tous ceux qui maintiennent debout l’hôpital par leur volonté sans faille. Le maintien du service public de santé est fondamental, nous le défendrons autant qu’il le faudra.

Nous sommes stupéfaits du « bricolage » de la gestion de crise, modifiant les consignes au jour le jour, notamment pour les enseignants, proposant des mesures illisibles (pas de vaccination obligatoire, mais un passe de plus en plus contraignant), semant le doute pour finir par l’éclatement de la hargne du Président ; il choisit d’emmerder plutôt que de convaincre.

La négation de la crise climatique, les atteintes à l’environnement, le jacobinisme archaïque sont aussi inacceptables, même si dépasser la crise sanitaire et sociale est pour l’instant prioritaire.

ECOLOGIA SULIDARIA SERA PRESENT POUR RELEVER CES DEFIS ET RASSEMBLER TOUS CEUX DONT LA VISION POUR L’AVENIR EST CELLE DU BIEN COMMUN, ET NON LA POLITIQUE DU PIRE AUJOURD’UI EN MARCHE.

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